- Épargne imposable
- Il s'agit d'un compte d'épargne ordinaire et, donc, imposable. Les dépôts et les retraits y sont illimités, mais les gains en intérêt et en capital sont imposables. De plus, il n'existe aucune déduction fiscale pour les dépôts dans un compte ordinaire imposable.
- Solde au début
- Le solde du compte au début de la période simulée.
- Montant des cotisations
- Le montant de votre cotisation périodique. On suppose que toutes les cotisations sont faites au début de la période.
- Années de cotisation
- Le nombre d'années pendant lesquelles vous prévoyez cotiser au compte d'épargne.
- Fréquence des cotisations
- La fréquence à laquelle vous versez vos cotisations : chaque semaine, aux deux semaines, deux fois par mois, une fois par mois, une fois par trimestre, tous les six mois ou une fois l'an. On suppose que chaque cotisation est versée au début de la période.
- Rendement annuel
- Il s'agit du taux de rendement annuel attendu de vos placements après impôt. Le rendement réel varie surtout selon le type de placement choisi. Par exemple, depuis les trente dernières années, le taux moyen de rendement annuel de la Bourse de Toronto est de 8.6% approximativement et le rendement d'un compte bancaire est de 2% ou moins. Il est important de se souvenir que les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les investissements à un haut taux de rendement projeté sont plus à risque et volatils et pourraient engendrer une perte en capital.
- Taux d'imposition sur le revenu
- Votre taux d'imposition marginal. Il sert à évaluer le montant d'impôt que vous paierez sur votre REER et les options des comptes imposables.
- Compensation de l'impôt
- Si cette case est cochée, la calculatrice supposera que les cotisations au REER sont imposables au moment où elles sont faites. Elle augmentera alors le montant de la cotisation au REER pour que la cotisation nette corresponde aux placements dont les cotisations sont calculées après impôt.